AFP : EUA0350 4 PW 0710 BEL /AFP-KU37 UE-PE-CIA-terrorisme PREV » Activités secrètes CIA: Solana, "désolé", ne peut rien pour les députés (PAPIER GENERAL) Par Fabrice RANDOUX =(PHOTO)= BRUXELLES, 2 mai 2006 (AFP) - Le Haut représentant de l'UE pour les affaires extérieures Javier Solana s'est dit mardi incapable d'aider les eurodéputés à obtenir des pays membres de l'UE des informations sur l'aide éventuelle qu'ils auraient apportée à la CIA pour transférer et détenir des terroristes présumés. "Je n'ai aucune information qui me permette de dire que certaines accusations sont vraies. Je n'ai aucune compétence pour demander cette information et les Etats membres n'ont aucune obligation de me répondre", a déclaré M. Solana devant la commission d'enquête du Parlement européen. "Les traités sont les traités. Je n'ai aucun pouvoir d'enquêter dans un Etat membre, désolé", a-t-il répété aux eurodéputés, visiblement frustrés par ses réponses un peu courtes. Plus d'un millier de vols suspects de la CIA ont transité depuis 2001 dans les aéroports et cieux européens, sans que les Etats européens ne demandent aucune information, avait affirmé la semaine dernière Claudio Fava, rapporteur de la commission d'enquête à l'issue de ses quatre premiers mois de travail. La CIA est fortement soupçonnée depuis l'année dernière d'avoir utilisé les aéroports de certains Etat membres pour transférer des prisonniers vers des pays tiers où ils auraient été torturés. "Je n'ai aucune information à propos des vols (de la CIA) que vous avez décrits ou de transfert (d'un prisonnier) d'un Etat à un autre", a répété M. Solana. Plusieurs députés se sont énervés face à cet aveu d'impuissance du Haut représentant de l'UE, qui n'a pour responsabilités que celles que veulent bien lui donner, au cas par cas, les 25 pays membres. "Les gouvernements ne sont pas obligés de répondre mais vous pourriez au moins leur poser des questions", a lancé l'écologiste néerlandaise Kathalijne Buitenweg. "Vous avez un devoir politique. Vos réponses donnent une image terrible de l'UE", a renchéri la libérale britannique Sarah Ludford. "Mes compétences sont équivalentes aux vôtres dans ce domaine", a-t-il rétorqué, en référence à l'absence de pouvoir investigatif de la commission parlementaire. "L'UE n'a pas de services secrets, il n'y a pas d'espion communautaire", a-t-il rappelé. Le Conseil de l'Europe, gardien de la Convention européenne des droits de l'Homme, qui mène une enquête parallèle à celle du Parlement, "a beaucoup plus de pouvoir que moi pour aller enquêter dans les Etats membres", a souligné M. Solana. "Si je faisais cela, on me dirait +vous outrepassez vos compétences+, a-t-il estimé. M. Solana a quand même assuré qu'il n'y avait "pas d'accord secret entre l'UE et les Etats-Unis" sur l'utilisation d'aéroports par la CIA. "Mais je ne peux pas vous garantir qu'il n'y a pas d'accord entre un pays X et les Etats-Unis", a-t-il nuancé. A plusieurs reprises, M. Solana a cependant laissé entendre qu'il se sentait proche des inquiétudes des eurodéputés. S'il s'avérait que les Etats-Unis transféraient des prisonniers vers des pays tiers pour qu'ils y soient torturés, alors ce "serait terrible", a-t-il affirmé. "Il est difficile de promouvoir la liberté à l'étranger si nous sommes perçus comme n'appliquant pas les droits de l'Homme aux musulmans", a-t-il souligné. A la fin d'une heure d'audition, M. Solana a dit aux députés "être navré que vous soyiez déçus". "Je suis devant vous car je le souhaite. D'autres ne le souhaiteraient pas", a-t-il noté. Comme pour lui donner raison, le secrétaire général de l'OTAN Jaap de Hoop Scheffer, auditionné dans une salle voisine par la commission des Affaires étrangères du PE, a affirmé que "ce n'était pas sur son agenda" de comparaître devant la commission CIA. "Je n'ai aucune information sur des vols présumés de la CIA ou des présumés transferts (de prisonniers). Cela n'a pas été discuté à l'OTAN et je ne vois pas le besoin d'en discuter", a-t-il jugé. La commission d'enquête du Parlement européen doit se rendre aux Etats-Unis du 8 au 12 mai, mais elle ne sait pas encore quels responsables elle pourra rencontrer. far/cat/ai eaf AFP 021647 GMT MAI 06 EUA0265 4 PW 0245 BEL /AFP-JZ60 UE-PE-CIA-terrorisme » Vols et prisons secrètes de la CIA: Solana n'a ni information, ni compétence BRUXELLES, 2 mai 2006 (AFP) - Le Haut représentant de la politique étrangère de l'Union Européenne, Javier Solana, a affirmé mardi n'avoir "aucune information", ni "aucune compétence pour en obtenir", sur la collaboration de pays européens à des transferts ou à la détention de terroristes présumés par la CIA. "Je n'ai aucune information qui me permette de dire que certaines accusations sont vraies. Je n'ai aucune compétence pour demander cette information et les Etats membres n'ont aucune obligation de me répondre", a déclaré M. Solana devant la commission d'enquête du Parlement européen. "Les traités sont les traités. Je n'ai aucun pouvoir d'enquêter dans un Etat membre, désolé", a-t-il lancé aux eurodéputés, visiblement frustrés par ses réponses. Plus d'un millier de vols secrets de la CIA ont transité depuis 2001 dans les aéroports et cieux européens, sans que les Etats européens ne demandent aucune information, avait affirmé la semaine dernière Claudio Fava, rapporteur de la commission d'enquête. "Je n'ai aucune information à propos des vols (de la CIA) que vous avez décrits ou de transfert (d'un prisonnier) d'un Etat à un autre", a répété M. Solana. "Mes compétences sont équivalentes aux vôtres dans ce domaine", a-t-il ironisé dans une allusion à l'absence de pouvoir d'investigation de la commission parlementaire. far/cat/jls AFP 021427 GMT MAI 06 DPA : edi275 4 pl 143 cccce dpa-euro 0543 EU/Terrorismus/Menschenrechte/ »Solana sieht keine Zuständigkeit in Untersuchung zu CIA-Flügen = Brüssel (dpa) - Der CIA-Sonderausschuss des Europa-Parlaments muss auf tatkräftige Hilfe des EU-Außenbeauftragten Javier Solana verzichten. Es sei nicht seine Aufgabe, die Regierungen über ihre Rolle bei illegalen Gefangenenflügen des US-Geheimdienstes zu befragen, sagte Solana den Abgeordneten am Dienstag in Brüssel. Der Generalsekretär des Europarats in Straßburg habe diese Möglichkeit. "Ich kann es nicht", betonte der Spanier, der die Außen- und Sicherheitspolitik der Union im Auftrag der 25 EU-Staaten vertritt. Der ebenfalls beim Rat angesiedelte Anti-Terror-Beauftragte der EU, Gijs de Vries, hatte in der vergangenen Woche regelrechte Proteste der Ausschussmitgliedern ausgelöst. De Vries hatte im Ausschuss erklärt, er sehe keine Beweise für rechtswidrige Aktivitäten der CIA in Europa. Auf Grund anderer Zeugenaussagen und Dokumente hält die überwiegende Mehrheit des Ausschusses dies aber längst für erwiesen. Die Abgeordneten suchen derzeit nach weiteren Hinweisen auf eine vermutete Mitwisserschaft mancher Regierungen. dpa ff xx hi 021613 Mai 06 nnnn BELGA : BTL069 3 EUR 0521 N BELGA-0433 GOS EUROPA/TERRORISME/VS/MENSENRECHTEN/NAVO/ CIA-vluchten: Solana stuurt onderzoekscommissie naar Navo » BRUSSEL 02/05 (BELGA) = De secretaris-generaal van Navo Jaap de Hoop Scheffer heeft geen zin om voor de CIA-onderzoekscommissie van het Europees Parlement (EP) te verschijnen. Toen hij tijdens een hoorzitting van de Commissie Buitenlandse Zaken van dat Parlement terloops over de CIA-vluchten werd ondervraagd, hield hij de boot af. "Ik heb geen informatie over de zogenaamde vluchten en uitleveringen," aldus de Hoop Scheffer. Op de vraag of een uitnodiging van de CIA-Commissie zou aanvaarden, antwoordde hij: "Dat staat niet in mijn agenda." De leden van de CIA-Commissie interpreteerden dit antwoord als een duidelijke weigering. Uitgerekend de Hoge Vertegenwoordiger Javier Solana, die dinsdag bijna 2 uur door de CIA-onderzoekscommissie werd ondervraagd, bracht de parlementsleden op het idee om de Hoop Scheffer te contacteren. Eerst was er de vraag rond het akkoord van oktober 2001. De Verenigde Staten en de Navo raakten het toen eens over een uitleveringsakkoord van terroristen. De onderzoekscommissie is al geruime tijd op zoek naar de concrete inhoud van die overeenkomst en Solana hielp hen dinsdag een beetje op weg. Hij corrigeerde de vraagsteller toen die het over een akkoord tussen de VS en de Unie had. "Het gaat, aldus Solana, over een akkoord tussen de VS en de Navo." De Hoop Scheffer ontkende niet dat er een document bestond. "Het gaat echter, zo zei hij, om een vertrouwelijk tekst en we hebben de gewoonte niet om zulke documenten naar buiten te brengen." Ook wat de zes Bosniërs van Algerijnse origine betreft, verwees Solana naar de Navo. Ze werden in 2002 door de Bosnische regering aan de CIA overgeleverd en vanuit Sarajevo naar Guantanamo overgevlogen. "In 2002, aldus Solana, had de Europese Unie niet de leiding over de operaties in Bosnië. Dat was een Navo-aangelegenheid." Zoals Gijs de Vries die het strijd tegen het terrorisme coördineert, zei Solana herhaaldelijk dat hij niet op de hoogte van eventuele CIAvluchten en geheime detentiecentra is. Of hij de regeringsleiders daar nooit over ondervraagd had? Solana zei van niet. "Dat is mijn bevoegdheid niet, het verdrag staat me dat niet toe en zoals iedereen in deze zaal word ik geacht het verdrag rigoureus na te leven." Om te illustreren dat hij echt van goede wil is, maar dat hij nauwgezet op de vingers wordt gekeken, deed hij het verhaal van de satellietgegevens over de vluchten. De Raad van Europa had hem er om verzocht en Solana had er onmiddellijk mee ingestemd. "Ik heb me daar later moeten voor verontschuldigen, zo zei hij, en de toelating aan twee lidstaten moeten vragen." Bij momenten werd de hoorzitting geëmotioneerd. "Op deze plaats en in deze instelling, aldus Solana, kan en mag ik mijn persoonlijke mening niet geven." De vraag of hij in de strijd voor de mensenrechten niet beter het voortouw zou nemen in plaats van zich achter wettelijke argumenten te verschuilen, was er voor Solana bijna te veel aan. "Ik heb onder een dictatuur geleefd en ben zelf gemarteld. In deze kwesties ben ik even geëngageerd als u."./. GOS/LRT ./. 022021 MAY 06 EXT058 3 POL 0573 F BELGA-0421 EDR AMPLI EXT055 EUROPE/ EU/ DDH/ JUSTICE/ OTAN/ PARLEURO/ de Hoop Scheffer n'entend pas témoigner devant la commission CIA » BRUXELLES 02/05 (BELGA) = Le secrétaire général de l'OTAN, Jaap de Hoop Scheffer, a indiqué mardi qu'il ne projetait pas de venir s'expliquer devant la commission d'enquête du Parlement européen sur les activités présumées de la CIA en Europe alors que son prédécesseur, Javier Solana, jugeait que cette audition pourrait être utile au travail des eurodéputés. "Ma venue à cette commission ne figure pas à mon agenda", a làché mardi M. de Hoop Scheffer en marge de la commission des Affaires étrangères du Parlement européen qui l'entendait sur d'autres sujets. "Les informations de l'OTAN sont classifiées et nous n'avons pas pour habitude de les livrer", a-t-il ajouté laconiquement. Quelques minutes auparavant, le haut représentant pour la politique étrangère de l'UE - et ancien secrétaire général de l'OTAN -, Javier Solana, avait lui-même suggéré aux députés de la commission d'enquête qui le questionnaient sur les activités de la CIA d'interroger plutôt le secrétaire général de l'OTAN pour obtenir des réponses sur un éventuel accord entre pays européens et les Etats-Unis sur les transferts aériens de présumés terroristes. "A l'heure actuelle, je n'ai aucune information qui me permet de dire que les allégations de vols ou de prisons secrètes de la CIA en Europe sont vraies. Je n'ai d'ailleurs même pas le droit au regard du traité européen de le demander aux pays membres", a expliqué M. Solana au cours d'une auditio de deux heures. . "Le secrétaire général du Conseil de l'Europe a bien plus de pouvoirs que moi. Lui, il peut aller trouver un Etat et dire que la convention (des droits de l'homme) n'a pas été respectée. Moi, je ne peux (légalement) pas le faire!" a-t-il avoué. "Beaucoup de personnes au sein de la Commission européenne ou de la présidence ont la charge de vérifier ce qui se passe à l'intérieur de l'Union. Moi, ma responsabilité, c'est ce qui se passe en dehors de l'Union", a encore ajouté M. Solana. Interrogé par un député sur un accord conclu en novembre 2001 entre l'Union européenne et les Etats-Unis à propos des transferts de présumés terroristes, M. Solana a démenti formellement que celui-ci ait été conclu entre l'UE et les EtatsUnis, évoquant plutôt un accord entre les Etats-Unis "et les pays de l'OTAN". "Il n'y a pas d'accord collectif engageant tous les pays européens envers les EtatsUnis, mais je ne peux pas vous garantir qu'il n'y a pas d'accord bilatéral entre certains pays européens et les Etats-Unis", a-t-il notamment commenté. Devant les députés, le haut représentant a toutefois indiqué avoir la "certitude" que les Etats membres de l'UE respectaient les règles internationales en matière de droits de l'homme. "Je fais confiance par principe aux pays européens qui sont des gouvernements élus démocratiquement, mais si vous avez des informations en sens contraire, je serais intéressé de les avoir", a-t-il ajouté. Interrogé par un conservateur britannique pour savoir s'il n'était pas légitime de torturer pour obtenir des informations permettant d'éviter la tenue d'un attentat sanglant, le haut représentant a rejeté cette éventualité dans les termes les plus fermes. "Je dis non à la torture car, pour avoir vécu sous la dictature (espagnole), j'ai fait l'expérience dans ma propre chair de ce qu'est la torture", a-t-il répliqué./.EDR-ALB/ GGD ./. 021946 MAY 06 EXT055 3 POL 0190 F BELGA-0390 EDR EUROPE/EU/DDH/JUSTICE/OTAN/ Vols CIA: secrétaire général de l'Otan n'entend pas témoigner (1LEAD) » BRUXELLES 02/05 (BELGA) = Le secrétaire général de l'Otan a indiqué mardi devant le Parlement européen qu'il n'avait pas le projet de venir s'expliquer devant la commission d'enquête du Parlement européen sur les activités présumées de la CIA en Europe alors que Javier Solana jugeait que cette audition pourrait être utile aux députés. "Ma venue à cette commission ne figure pas à mon agenda", a làché mardi Jaap de Hoop Scheffer en marge de la commission des Affaires étrangères du Parlement européen qui l'entendait sur d'autres sujets. "Les informations de l'Otan sont classifiées et nous n'avons pas pour habitude de les livrer", a-t-il ajouté laconiquement. Quelques minutes auparavant, Javier Solana, le haut représentant de l'UE pour la politique extérieure, avait lui-même suggéré aux députés de la commission d'enquête qui le questionnaient sur les activités de la CIA en Europe de s'intéresser plutôt au secrétaire général de l'Otan pour obtenir des réponses sur un présumé accord de novembre 2001 entre les pays de l'Otan sur les transferts aériens de présumés terroristes./...EDR-ALB/MPK ./. 021857 MAY 06 BTL057 3 ALG 0178 N BELGA-0370 GOS EUROPA/TERRORISME/NAVO/VS/ De Hoop Scheffer wil niet voor CIA-commissie verschijnen (1LEAD) » BRUSSEL 02/05 (BELGA) = De secretaris-generaal van de Navo Jaap de Hoop Scheffer wil niet voor de CIA-onderzoekscommissie van het Europees Parlement (EP) verschijnen. Op de vraag of hij een uitnodiging van de CIAonderzoekscommissie zou aanvaarden, zei de Hoop Scheffer botweg: "Dat staat niet op mijn agenda." De weigering viel op, want enkele minuten voordien had de Hoge Vertegenwoordiger Javier Solana de parlementsleden van de CIA-Commissie aangespoord om de Hoop Scheffer te ondervragen. Bijna 2 uur lang werd Solana door de CIA-Commissie aan de tand gevoeld. Dat leverde alvast één duidelijke verklaring op. Toen men hem zei dat de Unie in oktober 2001 - enkele weken na de aanslag op de Twin Towers - de Unie een akkoord met de VS over de bijzondere uitleveringen (extraordinary renditions) had gesloten, corrigeerde Solana de vraagsteller. "Dit was geen akkoord tussen de Unie en de Vis, wel een akkoord tussen de VS en de Navo." "Daarvoor, zo vervolgde Solana, moet u niet bij mij, maar wel bij de Hoop Scheffer zijn."./.GOS/LRT ./. 021839 MAY 06 EFE : EE2071 B ABOBT 05-02 00037 »ICX MUN UE-CIA -CorrecciónAVISO (Corrige la XJ2001 con nueva clave e la noticia) La noticia con clave DX2016 titulada "Solana asegura no tiene constancia actividades ilegales de CIA", fechada en Bruselas, es la previsión anunciada a las 18.00 horas. EFE int/cd ñK:ABO:MULTITEMATICO,MENSAJESñ ñN:RutRñ 05/02/19-23/06 05/02/19-10/06 05/02/19-10/06 XP2009 R TRIBT 05-02 00400 »FCE OTAN-CIA De Hoop Scheffer no prevé comparecer en investigación vuelos CIA Bruselas, 2 may (EFE).- El secretario general de la OTAN, Jaap de Hoop Scheffer, dijo hoy que no tiene previsto comparecer ante el Comité del Parlamento Europeo (PE) que investiga las supuestas actividades ilegales de la CIA en Europa. "No está en mi agenda comparecer ante el Comité" de investigación del PE, declaró en una intervención ante la Comisión de Exteriores de Parlamento, en la que explicó la actual agenda de la OTAN. A preguntas de los diputados, De Hoop Scheffer dijo que no cree que este tema "deba ser discutido en la mesa de la OTAN", y subrayó que "sencillamente no dispongo de información y espero que eso quede suficientemente claro". La presencia hoy de De Hoop Scheffer en el PE coincidió con las comparecencias del alto representante de la UE para la Política Exterior y de Seguridad Común, Javier Solana, y del ex comisario de Derechos Humanos del Consejo de Europa Alvaro Gil Robles ante el comité parlamentario que investiga las actividades de la CIA en Europa. Esos vuelos habrían incluido vuelos secretos con detenidos en la guerra que EEUU lanzó contra el terrorismo tras los atentados del 11-S. Los diputados quisieron relacionar hoy con esos vuelos un acuerdo alcanzado por los países de la OTAN tras esos atentados, que incluía un permiso para sobrevuelos de aviones estadounidenses y apoyo para su repostaje en su ruta hacia Afganistán. "¿Por qué no le preguntan al secretario general de la OTAN?", contestó Solana, quien dijo no tener información sobre los vuelos de la CIA supuestamente utilizados para trasladar a sospechosos de terrorismo a países donde podían ser torturados. De Hoop Scheffer también calificó hoy de "muy graves" las alegaciones de Gil Robles de que había visto en una base estadounidense de la OTAN en Kosovo un centro de detención similar a Guantánamo. "Estas son alegaciones muy graves que no puedo aceptar como secretario general de la OTAN", señaló. El secretario general de la Alianza aseguró que "desde 2004 no hay detenidos de la KFOR (Fuerza de la OTAN en Kosovo) y bajo la OTAN no ha existido ningún trato degradante", y pidió a Gil Robles que "se dirija directamente a mí". Gil Robles dijo en una entrevista en noviembre pasado que durante una visita a la base militar estadounidense de Camp Bondsteel, al sur de Pristina, había visto un centro de detención similar al de Guantánamo en Cuba. EFE ik/rcf/ir ñK:TRI:JUSTICIA-INTERIOR-SUCESOS,TERRORISMO POL:POLITICA,EXTERIORñ ñN:RutRñ 05/02/18-26/06 05/02/18-12/06 05/02/18-12/06 DX2016 U TRIBT 05-02 00541 »MUN EXG UE-CIA Solana asegura no tiene constancia actividades ilegales de CIA Bruselas, 2 may (EFE).- El alto representante para la Política Exterior y de Seguridad Común de la UE, Javier Solana, afirmó hoy ante el Parlamento Europeo que no tiene constancia de que la CIA haya cometido secuestros o tenga centros de detención en Europa. "En la posición que ocupo profesionalmente, en el papel que desempeño en la UE, no he tenido ninguna información que me indique con certeza que los alegatos o rumores oídos recientemente sean verdaderos", dijo Solana, ante la comisión parlamentaria que investiga las actuación de la CIA en la lucha contra el terrorismo. Ante las preguntas de los eurodiputados, el Alto Representante recordó en cualquier caso que no dispone de competencias para inquirir formalmente a los Estados miembros de la UE sobre ello. "Yo no podría acusar, ni investigar en un Estado miembro", admitió Solana, quien dejó claro que, "en principio" y mientras no haya pruebas de lo contrario, confía en los gobiernos de la UE cuando afirman que no están cometiendo o siendo cómplices de este tipo de ilegalidades. Preguntado por un supuesto convenio entre la UE y EEUU que ampare las acciones de la CIA, aseguró que "no hay un acuerdo colectivo de los Estados miembros de la UE", si bien precisó: "no puedo garantizar que no lo haya bilateralmente". La comisión del PE investiga en particular los presuntos secuestros y traslados de sospechosos a cargo de la CIA desde la UE a países terceros donde se practicaría la tortura, así como la posible complicidad de los gobiernos europeos con esas actividades. En su intervención inicial, Solana subrayó la conveniencia de cumplir la normativa internacional en la persecución de terroristas, por respeto al Estado de Derecho y a los derechos humanos, pero también, porque lo contrario acaba siendo "contraproducente". No obstante, reconoció la existencia que la amenaza terrorista plantea un "dilema". "Los gobiernos a veces tienen buenas razones para creer de alguien que es un terrorista peligroso, pero puede que aún no tengan las pruebas necesarias para un Tribunal. Dejarle en libertad pondría muchas vidas en riesgo, mientras que detenerle indefinidamente atentaría contra nuestras tradiciones judiciales", explicó Solana. La respuesta al dilema, dijo Solana, es "difícil", pero el objetivo "debe siempre garantizar una supervisión judicial adecuada y preservar nuestros principios legales centrales". En el turno de preguntas y respuestas, Solana llegó a relacionar su rechazo al uso de la tortura en el combate contra el terrorismo con su experiencia personal durante la dictadura franquista en España. "Conozco en mi propio cuerpo lo que es la tortura", dijo. Por otro lado, en declaraciones a los periodistas tras su comparecencia, Solana precisó que las capacidades del Parlamento Europeo para investigar las posibles irregularidades en la lucha contra el terrorismo "son limitadas", frente a las del Consejo de Europa, institución ajena a la Unión Europea que mantiene abierta una investigación paralela, o a los propios parlamentos nacionales. No obstante, preguntado por su opinión "personal" sobre los hechos denunciados, dijo: "si de verdad se demuestra que ha habido personas que han sido llevadas a países terceros para ser torturadas, a países que estamos pidiendo que se democraticen y a la vez, que hagan eso, me parecería un terrible malhacer desde todos los puntos de vista morales y políticos". EFE adp/cbm ñK:TRI:JUSTICIA-INTERIOR-SUCESOS,TERRORISMO POL:POLITICA,EXTERIORñ ñN:RutRñ 05/02/16-42/06 05/02/16-29/06 05/02/16-29/06 REUTERS : fac000 4 SO 1539 vvvv News from Factiva - A Dow Jones & Reuters Company EU Official Denies Knowledge of CIA Jails BRUSSELS, Belgium (AP) - The EU foreign policy chief told a special committee Tuesday he had no information that CIA agents interrogated al-Qaida suspects at secret prisons in Europe and operated flights over European territory. EU lawmakers accused Javier Solana of giving evasive answers in their investigation into reported questionable CIA activities in Europe. Solana told the special committee of the European Parliament that although he had no proof of CIA prisons or flights, the allegations were "not a marginal issue" for EUU.S. relations. He called on Washington to provide further clarification on terror suspects allegedly held incommunicado. "Professionally, in the role I have now in the European Union, I have no information whatsoever that tells me with certainty that any of the accusations, allegations, rumors that have taken place in the last period of time are true," Solana told the committee a week after it said data from the EU's air traffic agency prove the CIA has conducted secret flights in Europe since 2001. Solana said the United States had already given assurances it does not torture terror suspects in detention, and he gave guarantees that no European Union country uses intelligence obtained under torture. "Some Europeans, myself of course included, would welcome similar assurances (from Washington) on incommunicado detentions," he said. Solana said he had no mandate to ask EU member states how they handle the allegations, and that the fight against terrorism was solely in the hands of EU governments. The remarks drew criticism from some legislators. "You are in effect washing your hands from responsibility. You can't simply say this is out of your remit," Spanish deputy Willy Meyer said. British lawmaker Sarah Ludford said Solana's claims of the lack of competence to ask member states basic questions paints "a pathetic picture of the EU." The parliamentary investigation began in January after news reports said U.S. agents had interrogated al-Qaida suspects at secret prisons in eastern Europe. Human Rights Watch identified Romania and Poland as possible sites of the clandestine detention centers; both countries denied involvement. Last Wednesday, the EU parliament committee said data from Eurocontrol showed the CIA conducted more than 1,000 clandestine flights in Europe over the last five years, and that some of them secretly shuttled terror suspects to countries where they could face torture. Legislators said flight data showed a pattern of alleged hidden operations by U.S. agents, and they accused some European governments of knowing about it but remaining silent. "We still don't know the facts. Prosecutors are looking into it, but it's hard to comment," Solana told journalists after the hearing. Secret detention centers and flights via or from Europe to countries where suspects could face torture would breach the continent's human rights conventions. Solana said European governments sometimes face a dilemma when they have apprehended a person who they believe is a terror suspect, but do not yet have evidence that would stand up in court. "I do recognize a dilemma. Locking him up indefinitely would be against our tradition of justice. How to handle this dilemma is difficult. We have to discuss this among friends, among allies," he said. By JAN SLIVA Associated Press Writer (c) 2006. The Associated Press. All Rights Reserved. Associated Press Newswires 20060502 fac000 4 SO 2937 vvvv News from Factiva - A Dow Jones & Reuters Company UPDATE 1-EU's Solana says has no proof of CIA renditions (Adds more Solana comments) BRUSSELS, May 2 (Reuters) - The European Union's foreign policy chief said on Tuesday he had no proof U.S. intelligence agents had transferred al Qaeda suspects through Europe and that he had no powers to investigate the allegations. A Washington Post report last year that the CIA had run secret rendition flights and secret prisons in eastern Europe for al Qaeda suspects unleashed a spate of investigations, but none have so far produced a "smoking gun", or solid proof. "I have no information whatsoever that tells me with certainty that any of the accusations, allegations, rumours, that have taken place are true," Javier Solana told a committee of European Parliament lawmakers probing the allegations. "I do not have the information - I do not have the competence - to ask the countries how they have handled these questions," Solana added. He said the European Union treaty only allowed the bloc's executive branch, the European Commission, or at least a third of member states acting in concert, to raise the issue. Solana advised lawmakers to question NATO Secretary-General Jaap de Hoop Scheffer, but de Hoop Scheffer told the parliament's foreign affairs committee: "I have no information on so-called, alleged, quote-unquote, CIA flights or alleged renditions." Solana's comments were sharply criticised by some EU lawmakers. British European parliamentarian Sarah Ludford said Solana had a political duty to probe the allegations. "It just paints such a pathetic picture of the EU," she said of Solana's assertion that he could not ask questions about the allegations and the possible complicity of some EU states. Solana told EU lawmakers pressing him on whether EU countries had used information obtained under torture that he believed they were respecting the prohibition. "I have been tortured and I know what that means ... to say 'no' to torture," Solana said, referring to his past as a young socialist activist under Franco's dictatorship in Spain. "NOT MARGINAL ISSUES" Solana said the accusations of CIA abuses were "certainly not marginal issues for the transatlantic relations." He said the US had given assurances about not using torture on CIA flights but that he would welcome similar assurances on not using incommunicado detentions. Solana's powers are limited as he has no formal role as EU foreign minister. The EU constitution would have created a post of foreign minister, but the planned law has been put on hold since French and Dutch voters rejected it last year. According to Claudio Fava, an Italian EU lawmaker responsible for drafting the parliamentary committee's first interim report last week, more than 1,000 CIA flights had transited the European Union since 2001. Amnesty International has given the same figure, and the Council of Europe, another rights organisation investigating the allegations, said last month that one European state had admitted handing over terrorism suspects to foreign agents. A team led by Fava probing the alleged CIA abduction of a Kuwaiti-born German on Saturday visited a hotel where he stayed in Macedonia in 2004 and questioned whether his 23-day stay there was voluntary. Fava said on Friday there was no "hard evidence" to confirm Masri's claim he was kidnapped by Macedonian agents before being flown by the CIA to Afghanistan for interrogation. The European Parliament committee has no legal or judicial power but can recommend sanctions against states. By Ingrid Melander (c) 2006 Reuters Limited Reuters News 20060502